Créer une alerte pour le métier Cadre d'administration , Le Kremlin-Bicêtre
CDD / Remplacement, Temps plein
Le Kremlin-Bicêtre (94), Val-de-Marne
Entre 50000 € et 65000 € (bruts/an)
Aujourd’hui, nous recherchons un(e) responsable du contrôle interne (F/H) cadre (catégorie A) encadrant(e).
Salaire : 50 K€ - 65 K€ bruts annuels, selon ancienneté et expérience, hors indemnité de résidence qui équivaut à + 3% du traitement de base.
Ce poste est directement rattaché au Directeur du budget, de la gestion des risques et du contrôle interne (DBRCI) et, plus particulièrement à son Pôle contrôle interne (PCI).
La Direction budget, gestion des risques et contrôle interne définit la stratégie budgétaire de l’Agence et, à ce titre, elle est responsable de la gestion de l’Assemblée générale, de la coordination des travaux pour l’élaboration du contrat d’objectifs et de performance de l’Agence, du pilotage de la gestion des risques (y compris le contrôle interne) et, de la supervision du plan de continuité d’activité.
Son directeur est assisté par deux pôles :
- Pôle Budget en charge de gérer l’ensemble du processus budgétaire de l’Agence, de l’élaboration à la mise en œuvre;
- Pôle Contrôle interne.
Le Responsable du contrôle interne, sous la supervision du Directeur du Budget, des Risques et du Contrôle Interne, a la charge d’élaborer les dispositifs de gestion des risques, de déployer les mesures de prévention et d’assurer l’application et le respect des principes et méthodes des dispositifs de gestion des risques.
En outre, ce pôle a également pour mission de sensibiliser les agents sur les meilleures pratiques en matière de gestion des risques, de réaliser des contrôles ou des audits internes réguliers pour vérifier l’efficacité des dispositifs en place et proposer des améliorations.
Le poste inclut par ailleurs la responsabilité managériale d’un chargé de contrôle interne et conformité, dont la mission principale est de vous assister dans la réalisation et le suivi de l’ensemble de vos missions.
Entre 50000 € et 65000 € (bruts/an)
- Assurer le contrôle des activités de l’Agence et garantir leur coordination et suivi
- Concevoir et mettre en œuvre le plan de contrôle interne de second niveau, validé en collaboration avec la direction ;
- Elaborer des reportings détaillés sur les résultats des contrôles et les communiquer à la direction ainsi qu’aux parties prenantes concernées ;
- Formuler des recommandations et proposer des actions correctives ou d’améliorations adaptées ;
- Elaborer un plan d’actions, le partager avec les parties prenantes et en assurer la mise en œuvre ainsi que le suivi opérationnel.
- Contribuer à l’actualisation de la cartographie des processus et des risques de l’Agence
- Mettre à jour et enrichir régulièrement la cartographie des processus ;
- Garantir la mise à jour systématique de la cartographie des risques de l’Agence, en collaboration avec les différents services ;
- Participer aux travaux relatifs au DUERP (Document unique d’évaluation des risques professionnels) et les encadrer méthodologiquement ;
- Élaborer et déployer les plans d’actions nécessaires, tout en assurant leur mise en œuvre et leur suivi effectif.
- Piloter, animer et développer le dispositif de gestion des incidents opérationnels
- Superviser et coordonner le dispositif de gestion des incidents en veillant à son efficacité et à sa conformité aux exigences internes ;
- Réaliser un reporting mensuel détaillé, incluant l’analyse des incidents recensés ;
- Accompagner les services dans l’analyse des incidents détectés et la mise en place de plans d’actions d’amélioration ;
- Poursuivre le développement du dispositif en établissant des indicateurs pertinents permettant d’alimenter la cartographie des risques à partir des données issues de la gestion des incidents.
- Contribuer à l’élaboration et à la gestion du plan de continuité d’activité (PCA) de l’Agence
- Identifier et évaluer les risques internes et externes les plus critiques pouvant affecter la continuité des activités ;
- Formaliser les moyens, procédures et ressources nécessaires pour garantir la résilience des activités identifiées comme prioritaires ;
- Participer à la définition et à la structuration de la stratégie globale de continuité d’activité ;
- Rédiger le plan de continuité d’activité et l’ensemble de la documentation associée (procédures, protocoles, etc.) ;
- Veiller à la capacité opérationnelle du PAC, en pilotant son évolution au regard des retours d’expérience et des résultats des exercices de simulation.
Expérimenté (2 à 5 ans)
BAC+5
Créée par la loi du 26 janvier 2016 et le décret 2016-942, l’Agence Nationale du Développement Professionnel Continu (ANDPC), groupement d’intérêt public (GIP), entre l’État et l’Assurance Maladie, a succédé depuis le 1er juillet 2016 à l’organisme gestionnaire du DPC (OGDPC).
Qu’est-ce que le développement professionnel continu (DPC) ?
Tout professionnel de santé, quel que soit son mode d’exercice ou son secteur d’activité, doit justifier, par période de 3 ans, avoir maintenu et actualisé ses connaissances, ses compétences et amélioré ses pratiques. Pour cela, il a l’obligation de participer à des actions de DPC (formation continue, évaluation des pratiques ou gestion des risques) parmi celles qui sont publiées par l’Agence nationale du DPC.
Quel est notre rôle ?
L’Agence assure 2 missions principales :
Le portage politique du dispositif de DPC pour l’ensemble des professionnels de santé, quel que soit leur mode d’exercice, et la gestion du DPC des professionnels libéraux.
Au titre de sa mission de pilotage, l’Agence :
- Porte la stratégie de développement du dispositif de développement professionnel continu et assure son pilotage pour l’ensemble des professionnels de santé, tous statuts et conditions d’exercice confondus ;
- Définit, en lien avec l’État, l’Assurance Maladie et les CNP (Conseils nationaux professionnels) ou collèges de bonnes pratiques, les orientations prioritaires pluriannuelles de DPC ;
- Evalue la qualité du DPC, en validant l’enregistrement des organismes et des structures auprès de l’Agence, et assure la qualité scientifique et pédagogique de l’offre de DPC ;
- Apprécie, en lien avec la Haute autorité de santé (HAS), la mise en œuvre des méthodes de développement professionnel continu ;
- Mesure l’impact du DPC sur l’amélioration des pratiques et l’efficience du dispositif ;
- Promeut le dispositif de DPC et informe les organismes ou structures susceptibles de proposer des actions de DPC, les professionnels de santé salariés, non-salariés et les employeurs.
Au titre de sa mission de gestion, l’Agence :
- Contribue au financement des actions de DPC s’inscrivant dans le cadre des orientations prioritaires pluriannuelles définies à l’article L. 4021-2 du code de la santé publique (CSP);
- Assure la gestion financière du développement professionnel continu des professionnels de santé libéraux conventionnés et des professionnels de santé salariés des centres de santé conventionnés ;
- Participe au financement d’actions de développement professionnel continu des médecins des établissements de santé et médico-sociaux s’inscrivant dans le cadre des orientations pluriannuelles prioritaires définies à l’article L. 4021-2 du CSP ;
- Etablit et met en œuvre le plan de contrôle du dispositif.
L’Agence Nationale du DPC compte aujourd’hui 85 collaborateurs permanents.
Par ailleurs, l’Agence s’appuie sur des instances largement représentatives des parties prenantes au dispositif :
Une instance politique et d’orientation : le Haut Conseil du DPC (HCDPC), représentant l’ensemble des acteurs du système de santé parties prenantes au dispositif ;
- Des instances d’évaluation scientifique et pédagogique : les Commissions Scientifiques Indépendantes (CSI) ;
- Des instances de gestion : le conseil de gestion, conseil paritaire entre les membres de l’assemblée générale du GIP et les organisations représentatives des professionnels libéraux et les sections professionnelles en charge de la gestion de l’enveloppe dévolue à chacune des professions ;
- Une instance déontologique : le comité d’éthique, composé de personnalités indépendantes en charge des travaux de réflexion destinées à prévenir et gérer les potentiels conflits d’intérêt.
Ce sont plus de 350 professionnels et acteurs de santé qui composent son réseau d’experts scientifiques et ses instances de gestion.
L’Agence nationale du DPC en quelques chiffres (situation au 31 décembre 2023) :
2 726 organismes de DPC enregistrés ; 7 942 actions de DPC publiées ; 248 000 inscriptions de professionnels de santé ; 224 M€ de dépenses au titre du DPC.
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